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Des night club aux clubs de sport

Tournoyer au dessus du sol, accrocher la barre de ses cuisses, se lover autour d’elle de façon langoureuse... Au départ, ce sont les stripteaseuses qui ont apprivoisé les barres verticales de leurs clubs pour agrémenter leurs numéros. Très vite, elles ont inventé une nouvelle forme de danse, la pole dance, à la fois gracieuse, sexy, acrobatique et sportive.
Puis la pole dance est sortie des night clubs pour entrer dans les clubs de sport. Aujourd’hui, elle a pignon sur rue aux Etats-Unis, en Australie et en Angleterre où existent des centaines d’écoles. Au passage, elle n’a rien perdu de sa grâce et de sa force de séduction. Elle garde son petit côté sulfureux des débuts - on pratique généralement en short moulant, petit débardeur et hauts talons - mais s’est énormément démocratisée. En France, elle fait enfin son apparition, encore timide puisqu’on ne compte que quatre écoles dans tout l’hexagone.

Une discipline sportive accessible à toutes

La pole dance n’est pas réservée aux toutes jeunes ou aux anciennes danseuses. Tout le monde peut pratiquer à son rythme. Elle muscle, elle assouplit et renforce la confiance en soi car il faut accepter de s’accrocher à la barre sans plus être en contact avec le sol. Elle se pratique toujours en musique, ce qui permet des mouvements chorégraphiés et des styles qui varient d’un genre musical à une autre (modern jazz, soul, rock…). Une fois maîtrisées les figures de base, on peut improviser et laisser libre cours à son imagination. Aux Etats-Unis, il existe d’ailleurs de réels concours de pole dance, et les hommes s’y sont mis, eux aussi !

Un booster pour le sex appeal

Discipline gymnique, la pole dance sculpte le corps. «Mais cela va bien plus loin, estime Mariana Baum, directrice de la Pole Dance Paris. Glisser tête en bas le long d’une barre amène à surmonter des peurs et à réaliser des exploits physiques dont on ne se serait pas crue capable. On y gagne en force, en assurance et donc en féminité. De nombreuses femmes qui pratiquent changent du coup leur manière de s’habiller, de bouger. Se mettent à porter des talons hauts au quotidien, se sentent plus sexy, plus désirables. Et cela rejaillit indirectement sur leur couple.»

source Femme Actuelle

Je pense que je ferais ressortir tout ces defauts qui me rendront IRRESISTIBLE aux yeux des femmes...


--Je raffolerais de son tatouage en forme de papillon, Je fantasmerais sur ses copines. Enfin les belles, pas les boudins.

--Je ferais semblant d’accepter qu’elle veuille me changer pour me transformer en un mec mieux que celui que j’étais lorsqu’elle m’a rencontré et prierais pour qu’elle, au contraire, ne change pas et reste à tout jamais la femme que j’ai rencontrée

--Je ferais semblant de piger que le pantalon noir qu’elle vient d’acheter n’est pas du tout le même que les 5 autres -pantalons noirs qu’elle possède déjà. Alors qu’en fait, toutes ses fringues se ressemblent

-- Je lui offirrait des fleurs pour qu'elle me pardonne d'etre un con parfois

--Je serais cadre dynamique dans une boîte en pleine expansion, et je regarderais avec une discrète (mais satisfaite) condescendance les gonzesses se tirer du taf à 18 heures parce qu’elles doivent aller chercher les mômes à la crèche : je saurais que celles-là ne me piqueront jamais ma place. Mais je regarderais avec encore plus de condescendance celles qui restent et bossent en nocturne, parce que sans réfléchir deux secondes, je les plaindrais de n’avoir rien d’autre que leur boulot. En même temps, si elles bossent en nocturne, y aurait peut-être moyen de se les faire dans les bureaux vides ?

--J’aurais toujours le dernier mot avec ma gonzesse. Je dirais “oui, mon coeur, tu as raison en fait“.

--Je ferais semblant de l’écouter quand elle parle pendant des plombes de trucs qui me font décrocher au bout de dix minutes. Pas question de risquer de me faire envoyer chier quand elle aura fini et que je pourrai ENFIN lui glisser une main entre les cuisses.

--Je mentirais à ma gonzesse pour pouvoir sortir avec mes potes, trouvant complètement débile qu’elle ne pige pas que j’ai besoin d’air. De moments sans elle. Jamais je ne renoncerais à ça, même par amour. Surtout pas par amour. Et quand je rentrerais bourré à 6 heures du matin en essayant vaguement de la trousser entre deux relents de bière, je la trouverais gonflée de bouder.

--Je n’avouerais jamais l’avoir trompée. Parce que j’estimerais que je dois assumer ce que je fais, et non me décharger d’une partie du fardeau sur elle sous le prétexte d’une honnêteté hypocrite. Baiser ailleurs de temps en temps ne m’empêcherait pas de l’aimer

--Je la regarderais jouir avec émerveillement, et je me délecterais de la tenir en haleine au bout de mes doigts, ma langue ou ma queue, seul maître de son plaisir, jusqu’à ce qu’elle me supplie de ne plus la faire languir. Et je me sentirais comme le Maître du Monde ensuite.

--J’admettrais que certaines femmes simulent, mais bon, pas avec moi, sans vouloir me vanter, hein, on est bien d’accord. Parce que sérieux, je m’en serais rendu compte, y a des signes qui ne trompent pas.

--Je serais un éternel séducteur, car c'est tellement bon de savoir qu'on plait et les femmes adorent ca aussi !
Je prétendrais ne pas aimer les pétasses et préférer les femmes intelligentes, pleines d’humour et avec de la personnalité aux canons décérébrés. Mais en vérité, les pétasses me feraient bander à mort et j’aurais très envie de me les faire.

--Je savourerais ma gaule matinale en contemplant ma queue avec respect

--Je lui dirais que je suis pour la parité, je lui dirais qu'elle a raison lorsqu'elle me fera des discours feministe, mais ca me ferait bien chier de repasser mes chemises.

Tout ca pour dire que je ne pourrais pas me passer des femmes, que meme si je les critiquent elles me seront indispensables. Que j'aurais surement un côté "Hank", avec une surdose de testosterone (envie de mettre mon poing dans la gueule à celui qui regarderait ma gonzesse d’un peu trop près, érections intempestives devant les culs qui me passent sous le nez, érections intempestives tout court, besoin maladif de prétendre que non, j’ai pas besoin d’aide et refus définitif de demander mon chemin en bagnole) ; je boirais bcp, peut etre trop, sans penser au lendemain, ma vie ne serait presque qu'improvisation , fete et baise !

Ce portrait qui fait peut etre un peu parodie sur certains point est fait vraiment avec bcp de tendresse . . .                                  http://www.journaldunepeste.fr/